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On August 20th, 1989, Lyle and Erik Menendez shot and killed their own parents. Until then, this Beverly Hills family had been a portrait of the American Dream. How did it go so wrong? To listen to all four episodes of 'The Menendez Brothers' right now and ad-free, go to IntoHistory.com . Subscribers enjoy uninterrupted listening, early releases, bonus content and more, only available at IntoHistory.com . If you or someone you know is in crisis, there is free help available at mhanational.org Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices…
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Veeva et Industries Cosmétiques lancent un nouveau podcast consacré au travail quotidien des acteurs de l’industrie cosmétique. Résolument pratique et court, chaque épisode répond concrètement à une problématique rencontrée par les cosméticiens. Formation, dossiers réglementaires, mise sur le marché, etc. Tous les sujets seront abordés
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Veeva et Industries Cosmétiques lancent un nouveau podcast consacré au travail quotidien des acteurs de l’industrie cosmétique. Résolument pratique et court, chaque épisode répond concrètement à une problématique rencontrée par les cosméticiens. Formation, dossiers réglementaires, mise sur le marché, etc. Tous les sujets seront abordés
Bonjour à tous et bienvenue dans cette nouvelle saison de l’émission qui vous aide dans votre quotidien de cosméticien. Je suis Nicolas Gosse, le rédacteur en chef de la revue Industries Cosmétiques. Dans cet épisode je reçois à nouveau David Égée, directeur stratégie en charge du business de la cosmétique chez Veeva, l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'applications cloud spécifiques aux industries. Veeva aide les équipes de R&D, de qualité et de réglementation à commercialiser plus vite des produits de haute qualité, des produits sûrs et durables sans compromettre leur conformité. Dans ce troisième épisode de cette saison, nous nous poserons une question simple, mais fréquemment partagée : l’industrie cosmétique navigue-t-elle dans une forêt de contraintes ? Et quel secret pour les transformer en opportunités ? Pour y répondre, David Égée s’appuiera sur son expérience industrielle et notamment ses 7 années comme directeur qualité chez Parfum Christians Dior.…
Bonjour à tous et merci d’écouter cette nouvelle saison d'une émission qui va vous aider dans votre quotidien de cosméticien. Je suis Nicolas Gosse, le rédacteur en chef de la revue Industries Cosmétiques et dans ce nouvel épisode je reçois à nouveau David Égée, directeur stratégie en charge du business de la cosmétique chez Veeva, l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'applications cloud spécifiques aux industries. Veeva aide les équipes de R&D, de qualité et de réglementation à commercialiser plus vite des produits de haute qualité, sûrs et durables sans compromettre la conformité. C’est tout l’enjeu de ce nouvel épisode qui pose une question fondamentale : vitesse et qualité sont-ils incompatibles ? Pour y répondre, David Égée appuiera ses développements sur son expérience dans l’imagerie médicale et dans dans le secteur cosmétique, notamment ses 7 années passées chez Parfums Christian Dior en tant que directeur qualité.…
Bonjour à tous et merci d’écouter cette nouvelle saison d'une émission qui va vous aider dans votre quotidien de cosméticien. Je suis Nicolas Gosse, le rédacteur en chef de la revue Industries Cosmétiques et dans ce nouvel épisode je reçois à nouveau David Égée de chez Veeva. Veeva est l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'applications cloud spécifiques aux industries qui aident les équipes de R&D, de qualité et de réglementation à commercialiser plus vite des produits de haute qualité, sûrs et durables sans compromettre la conformité. Quant à David Egee, il est directeur stratégie, en charge du business de la cosmétique pour Veeva. David est doté d'une solide expérience industrielle en production et en qualité (7 ans dans l'imagerie médicale, 12 ans dans la cosmétique dont 7 années comme directeur qualité chez Parfums Christian Dior. Dans cet épisode, nous nous demanderons si finalement, les meilleurs alliés des cosméticiens ne seraient pas leurs fournisseurs. La collaboration avec ces fournisseurs constitue-t-elle un enjeu de la qualité produit et répond-elle aux attentes des consommateurs ?…
Dans cet épisode, il sera question d'audits et d'inspections réalisés chez nos amis industriels de la cosmétique. Ces deux notions pourraient paraître identiques, pourtant audit et inspection ne sont pas synonymes. Quelles différences entre un audit et une inspection ? --- **En finir avec les nuits blanches : ** Bonjour à tous et merci d’écouter cette nouvelle émission qui va vous aider dans votre quotidien de cosméticien. Je suis Nicolas Gosse, le rédacteur en chef de la revue Industries Cosmétiques et dans cet épisode, je reçois à nouveau David Égée, directeur de la stratégie en cosmétiques pour Veeva, qui répondra à mes questions. **Dans cet épisode, il sera question d'audits et d'inspections réalisés chez nos amis industriels de la cosmétique. Ces deux notions pourraient paraître identiques, pourtant audit et inspection ne sont pas synonymes. Quelles différences faites-vous entre un audit et une inspection ?** Au travers d’un audit on vient évaluer et mesurer les performances des processus qualité. Ces audits sont menés au regard de normes, et donc il s’agit de vérifier que l’ensemble de l’organisation avec ses procédures et ses règles de fonctionnement est bien conforme à ces normes et si cette organisation obtient les résultats attendus. Là où l’audit peut être perçu comme quelque chose d’assez général, l’inspection peut être plus exigeante. **Plus exigeante ?** En effet, même si elle s’appuie sur des normes également, l’approche est un peu différente. Sans nécessairement balayer tous les processus, l’inspection vient souvent examiner de beaucoup plus près le processus en question. On a souvent l’habitude de penser que pour un audit, il faut montrer ce qui est fait, que ce qui est fait est en accord avec les normes, et enfin que la démarche d’amélioration continue est bien en place et portent ses fruits. De manière un peu différente, pour une inspection, l’inspecteur vient plutôt chercher la mise en défaut d’un processus. Ce qui rend l’exercice ardu pour l’industrie cosmétique, c’est que certains produits sont considérés comme des médicaments sans ordonnance dans certains pays. **Concrètement, ça veut dire quoi ?** Les référentiels qui s’appliquent, sont donc ceux de la pharma. Comme cela ne concerne que quelques pays et quelques produits, les industriels de la cosmétiques sont obligés d’adopter des standards extrêmement élevés pour finalement une faible part de production. **Quel est le lien avec les nuits blanches ?** Il faut bien se rendre compte qu’un audit ou une inspection dure plusieurs jours (de 2 à 5 jours). Vous répondez à des questions pendant 5 jours. Rappelez vous votre baccalauréat. Il faut d’abord maîtriser tous les sujets, seul ou à plusieurs. Vous imaginez que ce n’est déjà pas si facile, surtout si on vient rajouter des facteurs comme : la complexité ou la taille de l’organisation, la maturité de l’organisation. Ce qui rend l’exercice délicat c’est que tout ce qui est dit, doit pouvoir être démontré preuves à l’appui. Et l’obsession de l’inspecteur, va être de vérifier systématiquement, souvent par la recherche de contre-exemple, la véracité de ce qui est dit. Tout en étant de bonne foi, s’il y a des éléments qui ne peuvent être étayés par des faits correctement tracés ou documentés, alors on va considérer qu’ils ne sont pas vrais, en tout cas pas tout le temps. C’est ce qui vous et en écart. **Quels sont les éléments en question qui peuvent vous être demandés ?** Je me rappelle avoir reçu la semaine précédente une inspection de la FDA (l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux), une liste de 37 questions pour lesquelles l’inspecteur voulait les réponses en ouverture d’inspection. Au-delà de quelques questions sur la carte d’identité du site de production, certaines d’entre elles peuvent représenter un réel challenge en fonction de l’organisation et des outils dont on dispose. C’est-à-dire que bien avant même d’être en mesure de montrer sa conformité, le simple fait de fournir les renseignements demandés en brut peut-être un défis. Sans être exhaustif, par exemple vous pouvez avoir à fournir : -la liste du personnel impliqué sur une production ou présent sur le site à une date donnée -Évidemment pour l’ensemble des individus de cette liste, on va vous demander les preuves de formation et d’habilitation -La liste de toutes les modifications substantielles apportées à l’outil de production depuis la dernière inspection (c’est-à-dire sur environ 3 ans) -La liste de toutes les déviations ou non-conformités sur les trois dernières années -L’ensemble des résultats qualité et les analyses de tendances associées -Le listing des expéditions de produits par lots de production et par client. **Qu’attend l’inspecteur de ces éléments ?** Alors même que la fourniture de ces éléments peut déjà représenter un défi, l’enjeu n’est pas du tout là. Pour l’inspecteur, ces éléments sont simplement disponibles, et lorsqu’il les demande, il s’attend à les recevoir immédiatement. L’enjeu réside en réalité dans le fait de vérifier au travers de ces éléments si les processus sont respectés, si les informations sont correctement interprétées et traitées, si les décisions prises sur un évènement ont été les bonnes, tout ceci dans le but de garantir la meilleure qualité des produits commercialisés. Au-delà des attentes des inspecteurs, le rôle des équipes qualité, n’est clairement dans le travail d’extraction et de tri de données difficilement disponible en informatique, et parfois même encore sur papier uniquement. La valeur ajoutée des équipes qualité est dans l’analyse des données, le traitement des écarts, le suivi des plans d’action. Quand vous dépenser votre énergie là ou n’est pas votre valeur ajoutée, il est évident que la qualité des produits que vous commercialisez n’en bénéficie pas. Comment se préparer au mieux pour une inspection ? Comme on vient de le montrer, la vraie préparation réside dans le sérieux du travail quotidien, et les équipes qualité comme le reste de l’organisation sont là pour ça. La préparation ne doit pas résider dans la collecte de données. Ces activités doivent être supprimées. Les organisations les plus matures l’ont bien compris. Elles se dotent de solutions techniques fiables, performantes, agiles, configurable et faciles d’utilisation qui permettent à chacun des nombreux intervenants de se concentrer sur sa réelle valeur ajoutée. Les solutions les plus performantes offrent une stabilité de fonctionnement réelle, on l’a vu pendant l’épisode COVID, ou le cloud s’est avéré être une vraie solution, fiable et efficace. Cependant, il faut rester vigilant, toutes les solutions ne se valent pas. Deux éléments à prendre en compte : -L’industrie cosmétiques est en mutation au niveau qualité, nombreuses contraintes règlementaires récentes, accélération du time to market, mix produit modifié en profondeur en 2 mois de Covid. Les solutions informatiques doivent donner la capacité à l’industrie cosmétique de s’adapter, et en cela, non seulement, elles ne doivent pas être un frein, mais au contraire, elles doivent être le socle de l’adaptabilité et étant elles-mêmes agiles, configurables, et en supportant des évolutions régulières en toute transparence pour l’utilisateur. -La complexité des organisation, l’augmentation des contraintes règlementaires et les besoins de traçabilité font que les éléments à relier entre eux sont devenus nombreux, par exemple la formation des collaborateurs, la nature des décisions prises sur tel ou tel évènement. On voit bien là que l’ensemble de ces éléments doivent être reliés. De plus en plus cela s’étend aux autres entités avec qui on partage de plus en plus d’informations critiques des les processus décisionnels, je pense notamment aux services règlementaires. Au-delà de l’intégration des solutions, il faut penser à des solutions techniques plus modernes désormais disponibles, s’appuyant sur une base commune de données et sur laquelle viennent se connecter les interfaces appropriées pour les métiers. **Conclusion** Les sujets métiers sont assez compliqués par eux-mêmes, il ne faut donc pas hésiter à utiliser la technologie disponible, pour se faciliter la vie et concrètement pour en faire profiter la qualité et la conformité des produits sans que cela se fasse dans la douleur.…
Veeva et Industries Cosmétiques lancent un nouveau podcast consacré au travail quotidien des acteurs de l’industrie cosmétique. Résolument pratique et court, chaque épisode répond concrètement à une problématique rencontrée par les cosméticiens. Après un premier épisode consacré à la formation, place aux dossiers règlementaires. Au programme aujourd’hui : les dossiers règlementaires pour les produits cosmétiques. Un sujet pas si aride qu’il n’y paraît…Le titre de notre émission est : la fin des nuits blanches. Alors, David Égée, comment concilier dossiers réglementaires et fin des nuits blanches ? David Égée (1) : On parle de dossier règlementaire, donc en lien avec des autorités règlementaires. C’est donc important, et ça ne souffre pas les erreurs. Ce qu’il faut savoir, c’est que pour commercialiser un produit cosmétique, il y a des déclarations, par des autorisations à faire ou obtenir des autorités compétentes. C’est vrai dans tous les pays ou groupes de pays comme l’Europe. Pour chaque produit, et dans chaque pays, ces dossiers doivent être faits. Ces dossiers sont assez volumineux et peuvent parfois être complexes à constituer et les éléments viennent d’horizons diverses à des rythmes différents. Bien sûr, ce ne sont pas les mêmes dossiers dans tous les pays. Difficultés supplémentaires, la multiplicité des produits pour certaines marques, et l’accélération des plans marketing. Il est donc difficile pour un responsable des affaires règlementaire de savoir : Quels sont les documents nécessaires pour tel produit (car ça va dépendre des pays de commercialisation) ? Quels sont les documents manquants ? Le niveau de validation chaque document ? Qui en est en charge ? Quels sont les priorités à traiter ? Et c’est critique, puisque sans autorisation, vous ne pouvez pas commercialiser vos produits. Vous qui avez l’habitude de travailler avec les équipes en charge des affaires réglementaires, comment les équipes s’organisent-elles habituellement ? David Égée : Certaines ont fait le choix de solutions informatiques dédiées. En réalité, dans de nombreuses entreprises, les évolutions permanentes de règlementation partout dans le monde, ou l’accélération des plans marketing, et la multiplication des produits a rendu la charge de travail insupportable. Il existe des solutions permettant de traiter les données, les documents et les worklfows de communication, vérification, approbation, et soumission en toute conformité. Ces solutions permettent en quelques clic et sur des tableaux de bord de savoir où on en est de telle ou telle validation de document ou de telle ou telle constitution de dossier. Dans un système d’information où tout est informatisé, l’accès à l’information est indispensable. Comment les utilisateurs retrouvent-ils leurs documents ? David Égée : Alors c’est justement le point fort de la solution. L’ensemble des informations et disponible à tout le monde en fonction de ses autorisations. C’est ce qu’on appelle le « single point of truth », le point unique de vérité. Toutes les informations, documents ou workflows sont organisés de manière de telle sorte que quelle que soit la recherche ou le chemin suivi on trouve ce l’élément sans faute. Par exemple, si un certificat est commun à plusieurs produits, projets ou autres, il n’est archivé qu’une seule fois bien sûr, mais évidemment il est accessible via le dossier produit ou projet. Mais de la même manière, à partir du document ou de l’élément, on peut retrouver tous les produits, dossiers, ou projets auxquels il appartient. En réalité, mais si l’interface pour l’utilisateur est informatique, il peut retrouver exactement la même organisation que celle qu’il avait par le passé avec des classeur papier. Il n’est pas perdu. Passer à une solution informatisée représente un changement important pour les entreprises et les équipes dédiées et doit être bénéfique pour être accepté. Quel est le bénéfice utilisateur le plus important, celui que vous observez régulièrement ? David Égée : Ils sont nombreux, mais je dirais la gestion des changements. Un produit cosmétique est piloté par un projet. Et les source de changement sont nombreuses : Changement de règlementation, impactant les dossiers Reformulation, impactant également les dossiers règlementaires Modification de packaging… Avec ces solutions informatiques, est devenu très facile d’identifier tous les impacts, ce qui va devoir être fait, par qui, et surtout quelles sont les étapes à suivre et le temps que cela va prendre. Habituellement, la gestion des modifications, est génératrice de stress, et est source d’erreurs. Ici, tous les intervenants sont alertés automatiques, et la génération de tâches internes permet à chacun, de savoir immédiatement de ce qu’il a à faire et pour quand. Comment convaincre son patron ou son financier de l’intérêt d’une telle solution ? David Égée : Le premier est la qualité de vie au travail, la sérénité apportée dans les équipes affaires règlementaires de telles solutions est significative. Sinon, et d’un point de vue plus économique, les délais de constitution des dossiers sont raccourcis et beaucoup mieux maîtrisés. C’est un élément essentiel pour réduire le délais de mise sur le marché des produits. (1) Directeur de la stratégie en cosmétiques pour Veeva.…
Veeva et Industries Cosmétiques lancent un nouveau podcast consacré au travail quotidien des acteurs de l’industrie cosmétique. Résolument pratique et court, chaque épisode répond concrètement à une problématique rencontrée par les cosméticiens. Le premier épisode est consacré à la formation. Au programme du premier épisode, la formation des collaborateurs dans l’industrie cosmétique. Un sujet indispensable et préoccupant. Pourtant, vous annoncez la fin des nuits blanches. Comment ? David Égée(1) : S’agissant de la formation, je ne compte pas le nombre d’heures de réflexion passées à essayer de trouver une solution à des questions simples comme : - Qu’est-ce qu’un collaborateur doit savoir pour bien faire son travail ? - D’ailleurs comment, moi, je fais pour avoir la liste de ce qu’il doit savoir ? - Comment je m’assure qu’il a bien fait ses formations, et surtout qu’il a bien retenu l’essentiel ? - Comment je fais pour gérer les évolutions du besoin ? Et puis après avoir séché sur ces questions, on se dit : ah, mais la sécurité, il faut aussi former les collaborateurs sur la sécurité en fonction de ce qu’il fait. Et puis les RH, et puis, et puis, et puis…. C’est compliqué ! Et pourquoi des nuits blanches ? Parce que c’est important, voire critique ! Important pour la performance de votre organisation, et critique le jour des audits et des inspections. Vous ne devez pas être mis en défaut sur ce processus. Alors comment faire ? David Égée : Le seul moyen de conjuguer simplicité et performance est la mise en place de solutions informatiques dédiées. Pragmatiques et fiables elles permettent de s’assurer que chacun a les prérequis à la bonne tenue de son poste de travail. Quels sont les challenges ? David Égée : Le premier est de rassembler toutes les contraintes. En effet dans le cadre de la formation au poste de travail il faut s’assurer qu’à une fonction ou une responsabilité donnée, le salarié est en possession des savoirs et compétences dont il a besoin. Ces derniers balayent un large spectre de sujets comme le savoir métier et technique bien sûr, mais également des sujets connexes comme ceux de la sécurité, la qualité, l’environnement, RH ou d’autres encore. Ensuite il faut assurer le suivi. La traçabilité devant être assurée, l’enregistrement de ces formations, et désormais souvent les résultats de test d’acquis de compétences doivent être conservés. Avant même d’aller vers des systèmes complexes lourds et coûteux comme les LMS ( Learning Management System ) la priorité est d’abord de s’assurer que le socle de base (sécurité, environnement, qualité, et métier) est acquis de tous et que les modifications d’organisation ou les mises à jour de connaissance ont bien été transmises. Cette traçabilité permet également de garder une certaine pertinence dans les plans de formation, en évitant, lors des mobilités par exemple, de refaire des formations déjà faites. Qu’apporte la solution informatisée ? David Égée : La simplicité ! chacun son rôle ! Ces outils informatiques permettent à chaque acteur de remplir pleinement son rôle sans endosser les responsabilités de ses collègues. En fonction des rôles et des responsabilités de chacun, le plan de formation se construit automatiquement dans le système. Le salarié est acteur de son plan de formation en particulier lors des formations en ligne, le manager donne les ressources nécessaires et garantit la bonne exécution du plan de formation, les services techniques compétents alimentent chacun dans son domaine le plan de formation, enfin, les services RH veillent au bon fonctionnent du processus et assure par le biais de fiches missions ou descriptions de poste la pertinence du plan (le juste nécessaire). Toute la complexité est portée par la solution informatique. L’organisation dans son ensemble devient plus agile, car non alourdie par le processus de formation lui-même, mais surtout par une facilité nouvelle qui est donnée dans la gestion des modifications au sein de cette organisation. (1) Directeur de la stratégie en cosmétiques pour Veeva.…
Veeva et Industries Cosmétiques lancent un nouveau podcast consacré au travail quotidien des acteurs de l’industrie cosmétique. Résolument pratique et court, chaque épisode répond concrètement à une problématique rencontrée par les cosméticiens. Le premier épisode est consacré à la formation.
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