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A qui appartient le canal de Panama ?
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Le canal de Panama est une voie navigable stratégique de 80 km reliant l'océan Atlantique à l'océan Pacifique, traversant l'isthme de Panama...
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×En 2025, la question des passoires énergétiques reste un enjeu majeur du logement en France. Selon les dernières estimations, 5,8 millions de logements sont classés F ou G sur le diagnostic de performance énergétique (DPE), les rendant particulièrement énergivores et coûteux à chauffer. Contrairement à une idée reçue, ces logements sont majoritairement occupés par leur propriétaire, et non par des locataires. Une réalité qui soulève plusieurs défis, tant économiques qu’environnementaux. Des propriétaires piégés dans des logements énergivores Loin d’être un problème exclusivement locatif, près de 60 % des passoires énergétiques sont des résidences principales occupées par leurs propriétaires. Ces derniers se retrouvent souvent dans une impasse : d’un côté, des factures d’énergie qui explosent en raison d’une isolation insuffisante et d’équipements vétustes, de l’autre, des travaux de rénovation coûteux, difficilement finançables pour des ménages aux revenus modestes. Ce phénomène est particulièrement marqué chez les seniors, dont une grande partie vit dans de vieilles maisons individuelles en milieu rural. Beaucoup ont acquis leur bien il y a plusieurs décennies et disposent de revenus insuffisants pour entreprendre une rénovation énergétique d’ampleur. Un cadre réglementaire de plus en plus strict Face à l’urgence climatique, le gouvernement a renforcé les mesures visant à éradiquer ces logements énergivores. Depuis janvier 2023, les logements classés G consommant plus de 450 kWh/m² par an sont interdits à la location. En 2025, cette interdiction s’étendra à tous les logements classés G, puis aux F en 2028. Si ces restrictions concernent en priorité les bailleurs, elles affectent indirectement les propriétaires occupants. La valeur des passoires énergétiques sur le marché immobilier chute, rendant leur revente plus difficile sans travaux. Des aides financières encore insuffisantes Pour inciter à la rénovation, plusieurs dispositifs existent, notamment MaPrimeRénov’, qui subventionne partiellement l’isolation, le chauffage ou encore la ventilation. Toutefois, le reste à charge reste trop élevé pour de nombreux ménages. Face à cette situation, des associations et experts appellent à un accompagnement renforcé, avec des financements plus accessibles et des démarches simplifiées. Sans cela, des millions de propriétaires resteront prisonniers d’un logement énergivore, avec des impacts négatifs sur leur pouvoir d’achat et sur l’environnement. Si l’objectif de rénover massivement les logements d’ici 2050 est ambitieux, il ne pourra être atteint qu’en prenant pleinement en compte la réalité des propriétaires modestes, souvent oubliés des politiques publiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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En 2025, les obligations concernant les vignettes à apposer sur le pare-brise des véhicules en France ont évolué : Vignette Crit'Air : La vignette Crit'Air est désormais essentielle pour circuler dans les Zones à Faibles Émissions (ZFE), instaurées dans les agglomérations de plus de 150 000 habitants depuis le 1ᵉʳ janvier 2025. Cette pastille classe les véhicules selon leur niveau d'émissions polluantes. Son absence lors de la circulation dans une ZFE peut entraîner une amende de 68 €. Vignette d'assurance : Depuis le 1ᵉʳ avril 2024, l'obligation d'afficher la vignette verte d'assurance sur le pare-brise a été supprimée. Les forces de l'ordre vérifient désormais la validité de l'assurance via le Fichier des Véhicules Assurés (FVA). Cependant, la souscription à une assurance automobile reste obligatoire. Vignette du contrôle technique : Bien que le contrôle technique demeure obligatoire pour les véhicules âgés de plus de quatre ans, l'apposition de sa vignette sur le pare-brise n'est plus requise. En cas de contrôle routier, il est toutefois nécessaire de présenter le procès-verbal attestant de la validité du contrôle technique. Autres vignettes : Selon les communes, d'autres vignettes peuvent être exigées, notamment pour le stationnement résidentiel ou l'accès à certaines zones spécifiques. Il est donc recommandé de se renseigner auprès des autorités locales pour connaître les obligations particulières. En résumé, en 2025, la vignette Crit'Air est la principale vignette à apposer obligatoirement sur le pare-brise dans les zones concernées. Les vignettes d'assurance et de contrôle technique ne sont plus obligatoires sur le pare-brise, mais les obligations d'assurance et de contrôle technique demeurent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
Les récentes négociations commerciales entre la grande distribution et les industriels de l'agroalimentaire se sont conclues sur une note positive pour les consommateurs français. Les enseignes de supermarchés ont annoncé une « quasi-stabilité » des tarifs pour l'année 2025. Résultats des négociations Malgré un contexte économique marqué par une inflation notable ces dernières années, les discussions ont abouti à des accords permettant de maintenir les prix à des niveaux stables. Layla Rahhou, déléguée générale de la Fédération du Commerce et de la Distribution (FCD), a déclaré que cet aboutissement serait « bénéfique aux consommateurs après les années d'inflation que nous avons connues ». Contexte législatif Cette stabilité des prix intervient dans le cadre de la loi Descrozaille, également connue sous le nom de loi EGAlim III, promulguée en mars 2023. Cette loi vise à rééquilibrer les relations commerciales entre fournisseurs et distributeurs, notamment en encadrant les promotions et en protégeant le revenu des agriculteurs. Perspectives pour 2025 En conséquence, les consommateurs français peuvent s'attendre à une stabilité des prix alimentaires en 2025, avec des tarifs qui devraient rester proches de ceux de 2024. Cette situation contraste avec celle d'autres pays, comme le Royaume-Uni, où des augmentations de prix sont prévues. En conclusion, grâce aux récentes négociations et aux mesures législatives en place, les prix de l'alimentation en France devraient rester stables en 2025, offrant ainsi un certain répit aux consommateurs après une période d'inflation notable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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Air Canada a récemment engagé des poursuites judiciaires contre un passager en réponse à une décision de l'Office des transports du Canada (OTC) l'obligeant à verser 2 000 $ en dédommagement pour des bagages retardés. Contexte de l'affaire Le passager en question avait enregistré une valise qui n'est pas arrivée à destination en même temps que lui. Air Canada a livré le bagage à l'hôtel du passager le lendemain matin, soit moins de 24 heures après l'arrivée du vol. Cependant, pendant cette période sans ses effets personnels, le passager a effectué des achats pour remplacer les articles manquants. Ces dépenses comprenaient notamment un sac de marque Tumi monogrammé, acquis deux jours après la restitution du bagage retardé. Air Canada a contesté la nature et le montant de ces achats, les jugeant excessifs et non essentiels. Décision de l'OTC et réaction d'Air Canada L'OTC a statué en faveur du passager, ordonnant à Air Canada de lui verser une indemnité de 2 000 $ pour couvrir les dépenses engagées en raison du retard de livraison du bagage. Estimant cette décision injustifiée, notamment en raison des achats effectués après la restitution du bagage, Air Canada a décidé de contester cette décision en justice. Procédures en cas de bagages retardés Selon les politiques d'Air Canada, en cas de retard de bagages, la compagnie s'engage à rembourser les dépenses raisonnables engagées pour des articles essentiels, tels que des vêtements et des articles de toilette, nécessaires durant la période sans bagage. Toute demande de remboursement doit être accompagnée des reçus correspondants et soumise dans les 21 jours suivant la réception des bagages. Implications de l'affaire Cette affaire soulève des questions sur la définition de "dépenses raisonnables" et sur les obligations des compagnies aériennes envers leurs passagers en cas de retard de bagages. La décision finale de la cour pourrait établir un précédent quant aux montants et à la nature des dépenses remboursables dans de telles situations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
La France possède l’un des plus grands stocks d’or au monde, avec environ 2 436 tonnes de métal précieux conservées dans un lieu emblématique : la Souterraine, une salle blindée située sous la Banque de France, en plein cœur de Paris. Ce « Fort Knox français », caché sous le siège de l’institution rue Croix-des-Petits-Champs, protège l’un des trésors nationaux les plus impressionnants, évalué à plusieurs dizaines de milliards d’euros selon le cours de l’or. Mais pourquoi l’État conserve-t-il un tel magot ? Loin d’être un simple reliquat du passé, cet or joue encore un rôle crucial dans la stabilité économique du pays. Une réserve stratégique L’or de la Banque de France sert avant tout de garantie de la solidité financière du pays. Autrefois utilisé comme étalon pour garantir la valeur de la monnaie, il constitue aujourd’hui une réserve de confiance pour les marchés financiers et les institutions internationales. En cas de crise économique majeure, ce stock pourrait être mobilisé pour soutenir la monnaie nationale ou garantir des emprunts. Depuis les années 2000, plusieurs pays, notamment la Chine et la Russie, ont augmenté leurs réserves d’or, témoignant d’un regain d’intérêt pour ce métal en tant qu’actif refuge. Contrairement aux devises qui peuvent perdre de la valeur sous l’effet de l’inflation, l’or conserve une valeur intrinsèque sur le long terme. Une gestion active du stock Si la France ne vend plus son or depuis 2009, elle le gère activement. La Banque de France le prête régulièrement sur les marchés financiers, notamment pour des opérations de refinancement entre banques centrales. Ces prêts génèrent des revenus, contribuant ainsi au financement de l’économie. En 2021, la Banque de France a annoncé vouloir renforcer la place de Paris comme centre de négoce de l’or, en développant notamment des opérations de swaps et de refinancement autour du métal précieux. Cette stratégie vise à optimiser la rentabilité de cette réserve tout en garantissant sa pérennité. Un trésor intouchable ? Si l’idée de vendre une partie de ce stock pour financer des dépenses publiques revient régulièrement dans le débat politique, la Banque de France reste prudente. L’or représente un filet de sécurité ultime, un atout que l’État préfère conserver pour faire face aux incertitudes économiques à venir. Ainsi, bien à l’abri sous Paris, ce magot continue de jouer un rôle discret mais essentiel dans la stratégie financière de la France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
WhatsApp, la populaire application de messagerie détenue par Meta Platforms, est désormais soumise à des réglementations plus strictes au sein de l'Union européenne (UE). Cette évolution découle de sa récente classification en tant que « très grande plateforme en ligne » (Very Large Online Platform, VLOP) conformément au Règlement sur les services numériques (Digital Services Act, DSA). Cette désignation impose à WhatsApp de renforcer ses mécanismes de modération des contenus, notamment en ce qui concerne les contenus illicites et ceux promouvant les violences sexistes. Contexte et implications de la désignation VLOP Le DSA, entré en vigueur le 25 août 2023 pour les plus grandes plateformes numériques, vise à créer un environnement en ligne plus sûr et transparent. Les plateformes comptant plus de 45 millions d'utilisateurs actifs mensuels dans l'UE sont classées comme VLOP et doivent se conformer à des obligations accrues. WhatsApp ayant atteint environ 46,8 millions d'utilisateurs mensuels moyens dans l'UE, elle entre désormais dans cette catégorie. En tant que VLOP, WhatsApp est tenue de mettre en place des mesures robustes pour détecter et supprimer rapidement les contenus illégaux, y compris ceux incitant à la violence ou à la haine, ainsi que les contenus promouvant les violences sexistes. Cela inclut la mise en œuvre de mécanismes permettant aux utilisateurs de signaler facilement de tels contenus et la coopération avec des « signaleurs de confiance » pour identifier efficacement les infractions. Obligations supplémentaires et sanctions potentielles Outre la modération des contenus, le DSA impose aux VLOP des obligations supplémentaires, telles que : - Transparence accrue : fournir des rapports réguliers sur les actions de modération entreprises et sur le fonctionnement des algorithmes de recommandation. - Protection des droits fondamentaux : assurer que les mesures de modération respectent la liberté d'expression et autres droits fondamentaux des utilisateurs. - Accès aux données pour les chercheurs : permettre aux chercheurs accrédités d'accéder aux données pertinentes pour analyser les risques systémiques posés par les services de la plateforme. Le non-respect de ces obligations peut entraîner des sanctions sévères, pouvant aller jusqu'à 6 % du chiffre d'affaires annuel mondial de l'entreprise concernée. Engagement de WhatsApp à se conformer Face à ces nouvelles exigences, WhatsApp a annoncé son intention de se conformer pleinement aux directives européennes. Cela implique probablement des mises à jour de ses politiques de confidentialité et de modération, ainsi que des ajustements techniques pour répondre aux standards imposés par le DSA. Cette démarche s'inscrit dans un contexte où d'autres plateformes de Meta, telles que Facebook et Instagram, sont déjà soumises à ces régulations renforcées. Perspectives futures L'application du DSA marque une étape significative dans la régulation des services numériques au sein de l'UE. En obligeant des plateformes majeures comme WhatsApp à adopter des pratiques de modération plus strictes, l'UE vise à protéger les utilisateurs contre les contenus nuisibles tout en garantissant le respect des droits fondamentaux. Cette évolution pourrait également servir de modèle pour d'autres juridictions envisageant des régulations similaires. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
Oui, débrider son vélo électrique ou sa trottinette est totalement illégal en France. Cette pratique consiste à modifier le micrologiciel interne du moteur pour supprimer la limite de vitesse légale (25 km/h pour un vélo électrique). Toutefois, elle expose à des sanctions sévères aussi bien pour les utilisateurs que pour les vendeurs de kits de débridage. Les risques encourus 1. Pour le propriétaire du véhicule débridé Amende pouvant aller jusqu'à 30 000 euros Un an de prison en cas de modification volontaire Confiscation du matériel Si vous achetez un véhicule déjà débridé et que vous parvenez à le prouver, l’amende reste élevée : 1 500 euros 2. Pour les vendeurs de kits de débridage Sanction encore plus lourde : jusqu'à 2 ans de prison 3. Contrôles et vérifications La police mène des contrôles fréquents, notamment en zone urbaine Elle utilise des machines de détection capables de vérifier si un véhicule dépasse la vitesse autorisée Un danger en cas d’accident Si vous êtes impliqué dans un accident, l'assurance peut refuser toute prise en charge si votre véhicule est débridé Même en tant que victime, vous pourriez être jugé responsable si le débridage est prouvé En cas d’accident grave, cela pourrait constituer un facteur aggravant sur le plan pénal En résumé Débrider son vélo ou sa trottinette est une infraction lourde de conséquences, à la fois sur le plan financier, légal et sécuritaire. Même si cette pratique se répand, elle reste dangereuse et strictement interdite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
À partir de 2025, le régime d'indemnisation des arrêts maladie en France connaîtra des modifications significatives, touchant à la fois les fonctionnaires et les salariés du secteur privé. Ces réformes, annoncées par le ministère du Travail, visent à harmoniser les conditions entre les deux secteurs et à réaliser des économies budgétaires. Pour les fonctionnaires : une indemnisation réduite À compter du 1ᵉʳ mars 2025, les fonctionnaires verront leur indemnisation en cas d'arrêt maladie modifiée. Actuellement, un agent en congé de maladie ordinaire perçoit l'intégralité de son traitement indiciaire pendant les trois premiers mois d'arrêt. Avec la nouvelle réforme, cette indemnisation sera réduite à 90 % du traitement durant cette période initiale de trois mois. Cette mesure est inscrite dans l'article 189 de la loi de finances pour 2025, promulguée le 14 février 2025. citeturn0search5 Le gouvernement justifie cette réduction par la nécessité de maîtriser les dépenses publiques et d'aligner les conditions du secteur public sur celles du secteur privé. Cette modification devrait permettre une économie annuelle estimée à 900 millions d'euros. Pour les salariés du secteur privé : un plafond d'indemnisation revu à la baisse Les salariés du secteur privé seront également concernés par des changements dans leur indemnisation en cas d'arrêt maladie. À partir du 1ᵉʳ avril 2025, le plafond de revenus pris en compte pour le calcul des indemnités journalières sera abaissé. Actuellement fixé à 1,8 fois le SMIC, ce plafond sera réduit à 1,4 fois le SMIC. Cette modification entraînera une diminution du montant maximal des indemnités journalières versées par la Sécurité sociale, passant de 53,31 euros bruts à 41,47 euros bruts par jour. Cette réduction du plafond d'indemnisation aura un impact direct sur les salariés dont la rémunération dépasse le nouveau seuil. De plus, de nombreuses conventions collectives prévoyant un complément de salaire en cas d'arrêt maladie, les employeurs pourraient être amenés à compenser une part plus importante de la perte de revenus de leurs employés. Selon le Centre technique des institutions de prévoyance (CTIP), cette réforme représenterait un coût supplémentaire de 800 millions d'euros pour les entreprises et les organismes de prévoyance. Réactions et perspectives Ces réformes ont suscité de vives réactions de la part des syndicats et des représentants des salariés. Dans la fonction publique, plusieurs organisations syndicales ont exprimé leur mécontentement face à la réduction de l'indemnisation des arrêts maladie, y voyant une mesure injuste et pénalisante pour les agents. Des appels à la mobilisation et à la grève ont été lancés pour contester ces dispositions. Du côté des employeurs, notamment dans le secteur privé, l'inquiétude porte sur l'augmentation des charges financières liées à la nécessité de compenser la baisse des indemnités journalières versées par la Sécurité sociale. Cette situation pourrait entraîner une renégociation des conventions collectives et des accords d'entreprise pour adapter les dispositifs de prévoyance aux nouvelles dispositions légales. En conclusion, les modifications à venir du régime d'indemnisation des arrêts maladie en France marquent un tournant significatif dans la protection sociale des salariés et des fonctionnaires. Si l'objectif affiché est une harmonisation et une maîtrise des dépenses publiques, ces mesures soulèvent des questions quant à leur impact sur le pouvoir d'achat des travailleurs et sur les finances des entreprises. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
Le TGV M, futur fleuron de la SNCF, est annoncé pour une mise en service début 2026. Conçu par Alstom, ce train de nouvelle génération promet des avancées majeures en termes de performance, de confort et d’écologie. Attendu avec impatience par les voyageurs et les professionnels du rail, il incarne la modernisation du transport ferroviaire en France. Un train plus capacitaire et modulable L’une des principales innovations du TGV M est sa capacité accrue. Grâce à une architecture repensée, il pourra accueillir 740 passagers, soit 20 % de sièges supplémentaires par rapport aux TGV actuels. Cette augmentation du nombre de places répond à la forte demande sur certaines lignes et pourrait contribuer à une baisse des prix, en optimisant le coût par voyageur. Autre révolution : la modularité. L’intérieur du train a été conçu pour s’adapter aux besoins des passagers et des exploitants. Les espaces pourront être facilement réaménagés, permettant d’ajouter ou de retirer des sièges en fonction de la demande, ou encore d’agrandir certaines zones, comme celles dédiées aux vélos ou aux bagages. Un train plus éco-responsable Le TGV M s’inscrit dans une démarche de réduction de l’empreinte carbone. Il sera plus léger de 20 % grâce à des matériaux optimisés, ce qui permettra une baisse de 30 % de sa consommation énergétique. Il restera tout aussi rapide que ses prédécesseurs (jusqu’à 320 km/h), mais avec une efficacité énergétique améliorée. De plus, ce train sera conçu à 97 % avec des matériaux recyclables, un progrès significatif dans l’industrie ferroviaire. La maintenance sera également facilitée grâce à une connectivité renforcée, avec des capteurs capables d’anticiper les pannes et d’optimiser les interventions techniques. Plus de confort et de connectivité Les passagers bénéficieront d’un intérieur plus spacieux et lumineux, avec de grandes baies vitrées pour une meilleure vue sur le paysage. L’expérience voyageur sera aussi enrichie par un accès Wi-Fi amélioré, des prises USB et électriques à tous les sièges, ainsi qu’une meilleure insonorisation. En résumé, le TGV M représente une avancée majeure pour la SNCF, qui espère ainsi moderniser le train à grande vitesse, attirer encore plus de voyageurs et répondre aux enjeux environnementaux. Un tournant attendu avec impatience par les usagers, alors que la concurrence sur le rail français continue de s’intensifier. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
Le Livret A, produit d’épargne préféré des Français, a connu un début d’année 2025 morose. Selon les dernières données publiées par la Caisse des Dépôts, la collecte nette pour le mois de janvier affiche son niveau le plus bas depuis 2016. Un signal fort qui traduit un changement de comportement des épargnants, dans un contexte économique marqué par l’inflation persistante et des arbitrages financiers plus contraints. Une collecte en net ralentissement Chaque début d’année est traditionnellement un mois dynamique pour le Livret A, alimenté par les dépôts issus des primes de fin d’année et des bonnes résolutions financières. Pourtant, en janvier 2025, la collecte nette (dépôts moins retraits) a été particulièrement faible, voire négative dans certains établissements bancaires. Il faut remonter à 2016 pour retrouver un mois de janvier aussi peu favorable à l’épargne réglementée. Ce coup de frein s’explique en grande partie par le taux du Livret A. Ce taux d'intérêt annuel est fixé à 2,4 % (contre 3 % entre le 1er février 2023 et le 31 janvier 2025). Bien qu’historiquement attractif, ce taux désormais peine à rivaliser avec d’autres placements, notamment les comptes à terme et certaines assurances-vie en fonds euros, qui offrent des rendements plus compétitifs. Un pouvoir d’achat sous pression Autre facteur majeur : le pouvoir d’achat des Français, mis à rude épreuve par une inflation toujours présente. Les ménages doivent faire face à des hausses de prix sur l’énergie, l’alimentation et les loyers, réduisant ainsi leur capacité à épargner. Résultat : une partie des dépôts qui auraient été destinés au Livret A est directement absorbée par les dépenses courantes. Par ailleurs, la fin progressive des aides gouvernementales post-Covid, combinée à un contexte économique incertain, incite certains épargnants à privilégier des placements plus flexibles ou à puiser dans leurs économies pour boucler leur budget. Vers un changement de tendance ? Ce ralentissement marque-t-il un tournant pour le Livret A ? Si la tendance se confirme dans les mois à venir, le gouvernement et la Banque de France pourraient être amenés à ajuster leur stratégie. Une révision du taux en août 2025 est déjà envisagée, mais encore incertaine. En attendant, le Livret A reste un produit phare, notamment grâce à son exonération fiscale et sa garantie en capital. Reste à voir si les Français retrouveront le chemin de l’épargne dans un contexte économique toujours sous tension. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
La startup française Tut Tut s'est imposée comme le "Blablacar des colis" en révolutionnant la livraison collaborative de proximité. Fondée en 2019 par Vincent Chabbert, l'idée est née d'un besoin personnel : ne trouvant pas le cadeau souhaité pour sa fille en magasin et manquant de temps pour aller le chercher après l'avoir repéré en ligne, il a imaginé un service où des particuliers pourraient livrer des colis lors de leurs trajets quotidiens. Lancée officiellement en avril 2021, Tut Tut a rapidement gagné en popularité grâce à son concept simple et efficace. L'application met en relation des particuliers souhaitant faire livrer un colis avec d'autres particuliers, appelés "co-transporteurs", qui effectuent déjà des trajets dans un rayon de 30 km. Les livraisons peuvent être express, en moins de deux heures, ou planifiées à l'avance, offrant une flexibilité appréciée par les utilisateurs. Le modèle économique de Tut Tut repose sur une rémunération attractive pour les co-transporteurs, variant de 5,25 euros à 25 euros selon la taille du colis et la distance parcourue. En moyenne, un co-transporteur peut ainsi gagner jusqu'à 150 euros par mois, avec un plafond fixé à 400 euros mensuels pour préserver le caractère occasionnel de l'activité. Cette approche permet aux particuliers d'arrondir leurs fins de mois sans contrainte professionnelle. Au-delà de l'aspect financier, Tut Tut s'inscrit dans une démarche écologique en optimisant les trajets existants, réduisant ainsi l'empreinte carbone liée aux livraisons. En mutualisant les déplacements, la startup contribue à diminuer le nombre de véhicules sur les routes et les émissions associées. Depuis son lancement, Tut Tut connaît une croissance exponentielle. En 2024, l'entreprise célébrait son troisième anniversaire en tant que leader de la livraison durable en France, avec une valorisation estimée à plusieurs dizaines de millions d'euros. Cette réussite s'explique par une expansion rapide sur l'ensemble du territoire français, comptant plus de 220 000 co-transporteurs, dont près de 4 000 dans le seul département du Vaucluse. Initialement focalisée sur les livraisons pour les professionnels, notamment les distributeurs alimentaires, Tut Tut a élargi son offre en décembre 2024 en proposant ses services aux particuliers. Cette diversification permet désormais aux utilisateurs de faire livrer ou récupérer des objets volumineux, des commandes en ligne ou même des objets oubliés, renforçant ainsi la position de Tut Tut comme acteur incontournable de la livraison collaborative en France. En résumé, Tut Tut a su s'imposer comme le "Blablacar des colis" en combinant une idée innovante, une exécution efficace et une expansion stratégique, répondant ainsi aux besoins croissants de livraison rapide, économique et écologique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
Au sein de la famille royale britannique, le membre le plus riche est le roi Charles III. Sa fortune personnelle est estimée à environ 995 millions d'euros (850 millions de livres sterling). Cette richesse provient principalement de l'héritage de la reine Elizabeth II, de la possession du duché de Lancaster et d'autres actifs personnels. Le duché de Lancaster, un portefeuille privé de terres et de propriétés, a généré un revenu de 32 millions d'euros (27,4 millions de livres sterling) pour le roi au cours du dernier exercice financier. Le prince William, héritier du trône, possède également une fortune substantielle. En tant que prince de Galles, il a hérité du duché de Cornouailles, un domaine privé comprenant des biens immobiliers, des fermes et d'autres actifs. Ce duché a fourni un revenu annuel de 27,5 millions d'euros (23,6 millions de livres sterling) au prince William. Sa valeur nette totale est estimée à environ 1,52 milliard d'euros (1,3 milliard de livres sterling), ce qui inclut les actifs du duché et d'autres héritages familiaux. Le prince Harry, quant à lui, dispose d'une fortune nettement inférieure à celle de son frère aîné. Sa valeur nette est estimée à environ 70 millions d'euros (60 millions de dollars). Cette somme provient principalement de l'héritage de sa mère, la princesse Diana, qui lui a laissé environ 8,8 millions d'euros (10 millions de dollars), et de sa bisgrand-mère, la reine mère Elizabeth, qui lui a légué près de 8 millions d'euros à son 40e anniversaire. À cela s'ajoutent des revenus issus de contrats lucratifs, notamment un accord avec Netflix estimé à 100 millions de dollars et un contrat avec Spotify évalué à 20 millions de dollars. De plus, son autobiographie "Spare" lui aurait rapporté une avance de 20 millions de dollars. La famille royale bénéficie également du Sovereign Grant, une subvention publique destinée à financer les activités officielles et l'entretien des résidences royales. En 2025, cette subvention a été augmentée de 53 millions d'euros (45 millions de livres sterling), atteignant un total de 155 millions d'euros (132 millions de livres sterling). Cette augmentation vise notamment à financer les rénovations en cours du palais de Buckingham, estimées à 432 millions d'euros (369 millions de livres sterling). En résumé, bien que le prince William possède des actifs d'une valeur supérieure grâce au duché de Cornouailles, le roi Charles III détient la plus grande fortune personnelle au sein de la famille royale britannique, principalement grâce à ses héritages et à ses revenus privés. Le prince Harry, bien que moins fortuné que son frère et son père, a su diversifier ses sources de revenus depuis son retrait des fonctions royales, augmentant ainsi sa valeur nette. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
En février 2025, le président argentin Javier Milei s'est retrouvé au cœur d'une controverse majeure après avoir promu une cryptomonnaie appelée $LIBRA sur ses réseaux sociaux. Cette promotion a rapidement été suivie d'un effondrement de la valeur de la monnaie, entraînant des pertes financières significatives pour de nombreux investisseurs et suscitant des accusations de fraude à l'encontre du président. La promotion de $LIBRA par le président Le 14 février 2025, Javier Milei a publié sur son compte X (anciennement Twitter) un message encourageant ses 3,8 millions de followers à investir dans $LIBRA, une nouvelle cryptomonnaie présentée comme un projet privé destiné à financer des petites entreprises argentines. Cette annonce a immédiatement suscité un engouement, faisant grimper la valeur de $LIBRA de manière exponentielle. Cependant, quelques heures plus tard, la monnaie a connu un effondrement brutal, passant de 4,7 dollars à moins de 0,20 dollar, laissant de nombreux investisseurs avec des pertes considérables. Accusations de fraude et réactions politiques Suite à cet effondrement, plusieurs personnalités politiques et experts ont accusé le président Milei d'avoir participé à une escroquerie financière. Le député socialiste Esteban Paulón a annoncé son intention de déposer une demande de destitution, qualifiant l'affaire de "très grave". De son côté, l'informaticien Javier Smaldone a déclaré : "Le président vient de lancer publiquement une arnaque mondiale". Défense du président et enquêtes en cours Face à la polémique, Javier Milei a supprimé son message initial et a affirmé ne pas être au courant des détails du projet $LIBRA au moment de sa promotion. Il a déclaré avoir retiré son soutien après avoir pris connaissance des informations supplémentaires. Néanmoins, la controverse a conduit l'Office anticorruption argentin à ouvrir une enquête pour déterminer s'il y a eu des comportements inappropriés de la part du président ou de son entourage. Implications pour le marché des cryptomonnaies en Argentine Cet incident a mis en lumière les risques associés aux investissements dans des cryptomonnaies peu régulées et l'impact potentiel des figures publiques sur leur valorisation. L'Argentine, qui connaît une adoption croissante des actifs numériques en raison de l'instabilité économique, pourrait voir ses régulateurs renforcer les contrôles pour protéger les investisseurs et prévenir de futures arnaques. En conclusion, la promotion de la cryptomonnaie $LIBRA par le président Javier Milei a déclenché une série d'événements menant à des pertes financières pour de nombreux investisseurs et à des accusations de fraude. Cette affaire souligne l'importance de la diligence raisonnable et de la transparence dans le domaine des investissements en actifs numériques, ainsi que la responsabilité des personnalités publiques dans leurs recommandations financières. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
Les départs en retraite pour invalidité connaissent une augmentation notable au sein de la fonction publique française. Ce phénomène s'explique par une conjonction de facteurs liés aux conditions de travail, aux évolutions démographiques et aux récentes réformes. Conditions de travail et santé des fonctionnaires Les conditions de travail dans la fonction publique, notamment dans les secteurs de la santé et de l'éducation, se sont dégradées ces dernières années. Les agents sont confrontés à une intensification des tâches, à des effectifs insuffisants et à une pression accrue, ce qui entraîne une augmentation des troubles physiques et psychologiques. Cette détérioration des conditions de travail conduit à une hausse des arrêts maladie de longue durée et, par conséquent, à une augmentation des mises en retraite pour invalidité. Vieillissement de la population active La fonction publique est également confrontée au vieillissement de sa population active. Avec l'allongement de la durée de vie et le recul de l'âge de la retraite, les agents restent en poste plus longtemps. Cette situation accroît le risque d'apparition de maladies chroniques ou d'usure professionnelle, rendant certains fonctionnaires inaptes à poursuivre leur activité. Ainsi, le nombre de départs en retraite pour invalidité augmente proportionnellement au vieillissement des effectifs. Réformes et modifications des conditions de départ Les récentes réformes des retraites ont modifié les conditions de départ, notamment en repoussant l'âge légal de la retraite. Cette évolution peut inciter certains agents, confrontés à des problèmes de santé, à opter pour une retraite anticipée pour invalidité plutôt que de prolonger leur carrière dans des conditions difficiles. De plus, la revalorisation des pensions d'invalidité, avec une augmentation de 4,6 % au 1er avril 2024, rend cette option financièrement plus attractive pour les fonctionnaires concernés. Impact des politiques de gestion des ressources humaines Les politiques de gestion des ressources humaines au sein de la fonction publique peuvent également jouer un rôle dans cette tendance. Face à des restrictions budgétaires et à une volonté de réduire les effectifs, certaines administrations peuvent encourager les départs anticipés pour invalidité afin de diminuer la masse salariale. Cette approche, bien que contestable, contribue à l'augmentation des mises en retraite pour invalidité. Conséquences pour les finances publiques Cette hausse des départs en retraite pour invalidité a des répercussions sur les finances publiques. Le régime de retraite des fonctionnaires territoriaux et hospitaliers (CNRACL) est particulièrement affecté, avec un déficit croissant qui pourrait atteindre 11,1 milliards d'euros d'ici 2030 si aucune mesure n'est prise. Cette situation nécessite des ajustements structurels pour assurer la pérennité du système de retraite et la prise en charge adéquate des agents invalides. En conclusion, l'augmentation des départs en retraite pour invalidité dans la fonction publique française résulte de la combinaison de conditions de travail éprouvantes, du vieillissement des effectifs, de réformes des retraites et de politiques de gestion des ressources humaines. Ce phénomène pose des défis majeurs en termes de santé au travail et de soutenabilité financière des régimes de retraite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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Choses à Savoir ÉCONOMIE


La pénurie actuelle de la pâte à tartiner spéculoos Biscoff dans certains supermarchés résulte d'une combinaison de facteurs liés à la demande croissante et aux décisions des distributeurs. Demande en forte croissance Depuis plusieurs années, la popularité des produits Lotus Biscoff, notamment la pâte à tartiner, a connu une augmentation significative. En 2024, Lotus Bakeries a enregistré une croissance de près de 20 % de son chiffre d'affaires au premier semestre, principalement due à une demande mondiale accrue pour ses biscuits et pâtes à tartiner Biscoff. Cette tendance s'est poursuivie tout au long de l'année, avec une augmentation de 16 % des ventes consolidées, atteignant 1,232 milliard d'euros. Cette croissance a été principalement tirée par une augmentation record des volumes, reflétant l'engouement des consommateurs pour les produits Biscoff. Capacité de production limitée Malgré cette demande croissante, la capacité de production de Lotus Bakeries a atteint ses limites. Les lignes de production fonctionnent à plein régime pour répondre à la demande mondiale. Pour pallier cette situation, l'entreprise a investi dans une nouvelle usine en Thaïlande, prévue pour être opérationnelle d'ici le deuxième trimestre 2026. Cependant, jusqu'à l'ouverture de cette installation, la capacité de production reste contrainte, ce qui limite la disponibilité des produits Biscoff sur certains marchés. Décisions des distributeurs Outre les défis liés à la production, des décisions prises par certains distributeurs ont également contribué à la rareté de la pâte à tartiner Biscoff dans certains points de vente. Par exemple, des enseignes telles qu'Intermarché, Monoprix, Franprix et Super U ont retiré la pâte à tartiner spéculoos de leurs rayons. Les raisons évoquées varient : certaines parlent d'un "arrêt par le fournisseur", tandis que d'autres mentionnent que le produit "ne correspond plus à la stratégie produit" de l'enseigne. Ces décisions, combinées aux contraintes de production, ont conduit à une disponibilité réduite du produit dans certains supermarchés. Perspectives futures Pour répondre à la demande croissante, Lotus Bakeries mise sur l'expansion de sa capacité de production avec la nouvelle usine en Thaïlande. Cependant, cette solution ne sera effective qu'à partir de 2026. D'ici là, la disponibilité de la pâte à tartiner Biscoff pourrait rester limitée dans certains points de vente. Les consommateurs peuvent toutefois se tourner vers d'autres enseignes où le produit est encore disponible, comme Leclerc, Auchan et Chronodrive, ou opter pour des achats en ligne via des plateformes telles qu'Amazon. En résumé, la rareté actuelle de la pâte à tartiner spéculoos Biscoff dans certains supermarchés est le résultat d'une demande mondiale en forte hausse, de capacités de production actuellement limitées et de choix stratégiques de distribution par certaines enseignes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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